Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Activités physiques adaptées

Activités physiques

adaptées

Depuis plusieurs années, des activités physiques et sportives adaptées aux capacités des personnes fragilisées sont organisées au sein de notre établissement. Elles sont destinées aux personnes qui, pour diverses raisons, ne sont pas en capacité de pratiquer une activité physique de type classique. Il peut s’agir de patientes atteintes de maladies chroniques ou d’affection longue durée ayant besoin de sortir de la sédentarité ou tout simplement de remettre leur corps en mouvement.

Quelles activités physiques adaptées à l’Hôpital Privé du Confluent ?

Pilates adapté

Les mouvements sont basés sur le même fondement que le Pilates traditionnel. Les exercices du Pilates adapté stimulent les muscles dans leur globalité et en profondeur, pour permettre une meilleure maîtrise de son corps et de ses mouvements. Ils améliorent la posture, la coordination, et augmentent le tonus, la souplesse et l’endurance.

Yoga adapté

Son objectif est de se réapproprier son corps grâce à des exercices doux qui se focalisent sur les capacités à la fois respiratoires et mentales. L’objectif est avant tout de se détendre, de se concentrer dans l’instant présent et de retrouver un bien-être de corps et d’esprit.

Réhabilitation corporelle

À travers des étirements, des exercices de renforcement musculaire, de cardio-training et de gymnastique adaptés, elle vise à redécouvrir son souffle et sa mobilité. Sans contraction brusque, elle renforce les muscles et les articulations tout en stimulant la souplesse.

Close up of female hand gesturing zen outdoors

Vous souhaitez y participer ?

Pilates, yoga et réhabilitation corporelles sont proposés par les kinésithérapeutes de l’établissement.

Pour bénéficier de l’une de ces activités, l’inscription est obligatoire. 

Posez toutes vos questions et réservez votre séance au
06 62 70 17 85 ou 02 28 25 51 88.

Pourquoi pratiquer une Activité Physique Adaptée ?

Un grand nombre d’études indiquent que la pratique d’une activité physique adaptée, avant, pendant et après le traitement d’un cancer, apporte de multiples bénéfices : réduction de la fatigue et amélioration du sommeil, limitation des effets secondaires, évacuation des tensions et du stress, diminution du risque de récidive, amélioration de la qualité de vie, découverte d’une nouvelle vitalité, plaisir de se mettre en mouvement, facilitation de la vie sociale, réconciliation avec son corps et ses sensations, meilleure estime de soi…

La prescription d’activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une affection longue durée (ALD) est inscrite dans la loi de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016.

Les patients atteints de cancer voient s’altérer leurs capacités cardiorespiratoires et musculaires. Ce déconditionnement physique peut aboutir à un état d’intolérance à l’exercice, ayant pour conséquences une diminution de l’autonomie, de la qualité de vie, de l’estime de soi, accompagnée d’une augmentation des manifestations physiques et psychologiques de la fatigue.

De nombreuses études mettent en avant l’intérêt de l’exercice physique en prévention tertiaire. Sur la base du rapport «Bénéfices de l’activité physique pendant et après un cancer», publié en 2017, l’Institut national du cancer (INCa) préconise l’intégration de la pratique physique dans le panier de soins oncologiques de support.

Les effets bénéfiques de l’activité physique concernent :

  • la prévention ou la correction d’un déconditionnement physique
  • un maintien et/ou une normalisation de la composition corporelle
  • une réduction de la fatigue liée aux cancers et une amélioration globale de la qualité de vie
  • une amélioration de la tolérance des traitements et de leurs effets à moyen et long terme
  • un allongement de l’espérance de vie et une réduction du risque de récidive

Plus l’activité physique est initiée (ou préservée) tôt dans le parcours de soins, plus ses effets seront bénéfiques sur le patient. C’est également vrai si elle est maintenue dans la durée.

Aller au contenu principal